20 janvier 2005
Liberté. Egalité. Et...Fraternité.
L'inénarrable Baron de mes deux avait déclaré la grève "Inacceptable".
Eh bien, après La Poste avant-hier et la naguère Société Nationale des Chemins de Fer hier, ce sont les fonctionnaires et enseignants qui débrayent ce jeudi pour réclamer une révision de leur salaire plus conforme à l'ahurissante augmentation du coût de la vie depuis 2 ans ( soit depuis plus où moins l'introduction de ce cher Euro, qu'à l'époque je me voyais un peu présomptueusement dispendier, royal, dans les délices de Prague ou de Budapest).
L'ensemble du personnel de l'Education Nationale manifeste donc, portant ostensiblement les marques usurpées d'une désobéissance civile bien dérisoire et pour ainsi dire risible tellement elle relève de la gesticulation à l'heure où l'on aurait dû régler ça dans le sang et dans le sexe - je vous l'dis-.
Mais bon c'est déjà ça me direz-vous, vous. Sauf que, même pour cette gesticulation il y'aura des imbéciles pour vous gâcher le plaisir.
Regardez mon amie Elodie: Jeune, sympa, rousse et célbataire, fonctionnaire dans un lycée quelconque de la capitale et râlant toute l'année quant au caractère jugé misérable du salaire dont on la gratifie ( mais râlant évidemment beaucoup moins quand il s'agit d'être en vacances toutes les 7 semaines ou de ne pas connaître l'angoisse d'un possible chômage).
Eh bien cette dinde m'a fait prendre conscience hier de l'ampleur de sa bêtise crasse, quand elle m'assurait
- Non, je ne peux pas me permettre de faire grève. 1 journée c'est 80 Euros.
- Et vous êtes nombreux à penser comme ça? A vouloir aller bosser à tout prix?
- Non, je crois qu'il n'y aura que moi ou presque. D'ailleurs ça fait chier, je vais me retrouver seule à règler toutes les merdes
- ....
- Bon, j'ai qu'à m'enfermer dans le bureau et faire comme si j'étais pas là.
Espèce de débile. Je crois que la prochaine fois que tu me demandes de te faire un chèque je te délocalise.
Eh bien, après La Poste avant-hier et la naguère Société Nationale des Chemins de Fer hier, ce sont les fonctionnaires et enseignants qui débrayent ce jeudi pour réclamer une révision de leur salaire plus conforme à l'ahurissante augmentation du coût de la vie depuis 2 ans ( soit depuis plus où moins l'introduction de ce cher Euro, qu'à l'époque je me voyais un peu présomptueusement dispendier, royal, dans les délices de Prague ou de Budapest).
L'ensemble du personnel de l'Education Nationale manifeste donc, portant ostensiblement les marques usurpées d'une désobéissance civile bien dérisoire et pour ainsi dire risible tellement elle relève de la gesticulation à l'heure où l'on aurait dû régler ça dans le sang et dans le sexe - je vous l'dis-.
Mais bon c'est déjà ça me direz-vous, vous. Sauf que, même pour cette gesticulation il y'aura des imbéciles pour vous gâcher le plaisir.
Regardez mon amie Elodie: Jeune, sympa, rousse et célbataire, fonctionnaire dans un lycée quelconque de la capitale et râlant toute l'année quant au caractère jugé misérable du salaire dont on la gratifie ( mais râlant évidemment beaucoup moins quand il s'agit d'être en vacances toutes les 7 semaines ou de ne pas connaître l'angoisse d'un possible chômage).
Eh bien cette dinde m'a fait prendre conscience hier de l'ampleur de sa bêtise crasse, quand elle m'assurait
- Non, je ne peux pas me permettre de faire grève. 1 journée c'est 80 Euros.
- Et vous êtes nombreux à penser comme ça? A vouloir aller bosser à tout prix?
- Non, je crois qu'il n'y aura que moi ou presque. D'ailleurs ça fait chier, je vais me retrouver seule à règler toutes les merdes
- ....
- Bon, j'ai qu'à m'enfermer dans le bureau et faire comme si j'étais pas là.
Espèce de débile. Je crois que la prochaine fois que tu me demandes de te faire un chèque je te délocalise.
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