20 février 2005
Ah! Ce beau fruit de mon amitié!
Est-ce que l'on est sérieuse lorsqu'on a 17 ans, les cheveux blongs et
londs les yeus bleux et la bouche ourlée, superbe et sans aucun commun
scrupule?
F. certainement pas.
M'abordant fièrement depuis des mois dans mon auguste réserve, la fille d'un ami, d'un très bon ami, a donc décidé de me mettre dans un embarras aux parois spectaculaires.
Mercredi fut le soir de la grande ouverture qui aura cette fois plus que les autres, ruiné mes échafaudages de défense des quelques valeurs morales qui me survivent encore. Non que je ne tienne plus l'amitié que pour une valeur quelconque ( c'est exactement pas ça), la rangeant aux côtés d'autres stupidités qui elles méritent amplement leur place, non, non, mais c'est que cette splendide garce a les yeux lavés d'insolence brûlante et des idées définitives.
Je disais donc que je m'essayais à ruser pour ne pas l'avoir en face de moi pour dîner. Je rusai si bien qu'elle en vint à trouver une belle place à ma gauche qu'elle s'empressa de décider sienne. Et peu de minutes plus tard, se sentant à l'abri de son père, mon ami, relégué en fin de table, la voilà qui me prend le bras, négligemment n'est ce pas, tout à fait négligemment, me frotte les phalanges, me fiche son genou dans la cuisse, me caresse des mots dans le creux de l'oreille, tant et plus et si bien qu'à un moment mon excitation en forme d'I devint nettement palpable, me rendant désormais tout à fait confus dans mes interventions et comme siphonné par les appels d'un démon aux belles boucles.
La fin de soirée fut dure, donc. Une dame très discrète me raccompagnant chez moi, j'avais tout le loisir de me vautrer dans un siège et de commencer à me livrer à un nécessaire examen critique devant déboucher sur la résolution d'une question en forme d'ultimatum pressant relatif au petit démon en chaleur: Est-ce que j'allais la retourner cette petite chaudasse, ou non.
A ce moment là, c'est mon agréable conductrice du soir qui desserra les lèvres et me demanda sans parvenir à dissimuler l'empourprement soudain et certain de ses joues ce qui pouvait bien me faire sourire de manière aussi belle.
F. certainement pas.
M'abordant fièrement depuis des mois dans mon auguste réserve, la fille d'un ami, d'un très bon ami, a donc décidé de me mettre dans un embarras aux parois spectaculaires.
Mercredi fut le soir de la grande ouverture qui aura cette fois plus que les autres, ruiné mes échafaudages de défense des quelques valeurs morales qui me survivent encore. Non que je ne tienne plus l'amitié que pour une valeur quelconque ( c'est exactement pas ça), la rangeant aux côtés d'autres stupidités qui elles méritent amplement leur place, non, non, mais c'est que cette splendide garce a les yeux lavés d'insolence brûlante et des idées définitives.
Je disais donc que je m'essayais à ruser pour ne pas l'avoir en face de moi pour dîner. Je rusai si bien qu'elle en vint à trouver une belle place à ma gauche qu'elle s'empressa de décider sienne. Et peu de minutes plus tard, se sentant à l'abri de son père, mon ami, relégué en fin de table, la voilà qui me prend le bras, négligemment n'est ce pas, tout à fait négligemment, me frotte les phalanges, me fiche son genou dans la cuisse, me caresse des mots dans le creux de l'oreille, tant et plus et si bien qu'à un moment mon excitation en forme d'I devint nettement palpable, me rendant désormais tout à fait confus dans mes interventions et comme siphonné par les appels d'un démon aux belles boucles.
La fin de soirée fut dure, donc. Une dame très discrète me raccompagnant chez moi, j'avais tout le loisir de me vautrer dans un siège et de commencer à me livrer à un nécessaire examen critique devant déboucher sur la résolution d'une question en forme d'ultimatum pressant relatif au petit démon en chaleur: Est-ce que j'allais la retourner cette petite chaudasse, ou non.
A ce moment là, c'est mon agréable conductrice du soir qui desserra les lèvres et me demanda sans parvenir à dissimuler l'empourprement soudain et certain de ses joues ce qui pouvait bien me faire sourire de manière aussi belle.
Publicité
Publicité
Commentaires
P
L
B
P
L